Depuis sa création, l’institution électorale censée jouer le rôle de gardienne pour la transparence électorale a été toujours secouée par des luttes internes, opposant pour la plupart des cas, la mouvance et l’opposition.
Le dernier fait est celui de la sortie médiatique d’un de ses commissaires, en l’occurrence, Etienne Soropogui. Il a soutenu que les magistrats ont subi de « fortes pressions » pour modifier les résultats des élections communales du 4 février 2018.
Réponse du berger à la bergère : la Ceni « s’inscrit en faux » contre ce genre de déclaration qui n’engage que son auteur. Etienne Soropogui désormais seul contre tous ? C’est en tout cas l’esprit de la déclaration que nous vous invitons à lire en pdf. (COMMUNIQUÉ-CENI)
Laye Leno