À la veille du démarrage des concertations voulues par le CNRD, le président de la fédération nationale des artisans de Guinée, El hadj Boubacar Fofana, également vice-président du conseil national des organisations de la société civile guinéenne, a tout d’abord déploré le temps imparti aux forces vives de la nation pour la concertation, avant qu’il ne parle de l’importance des institutions consulaires qui peuvent être un outil crucial pour les autorités de transition.
Réaction : « Je vois un peu trop juste dans 2 heures la société civile qui est aujourd’hui l’espoir de la population guinéenne, qui a été à la base de tout changement depuis 2006 2007 jusqu’à maintenant que celle-ci puisse parler juste échanger dans 2 heures et demie le concret ce qui doit améliorer la gouvernance. Mais on va faire la synthèse et juste ouvrir les débats. Les vrais débats, je crois chaque entité doit avoir une journée pour que les grandes lignes soient reversées dans une cellule d’analyse pour sortir un document vrai.
Un élément phare dans le programme de développement qui a été interrompu depuis les temps dont toute l’Afrique de l’Ouest et ailleurs en ont, c’est les institutions consulaires, personnes en parle, car les institutions consulaires ont leur vocation jusqu’à l’organisation internationale de la chambre de commerce. Mais Personne n’en parle
Ces institutions consulaires sont l’auxiliaire qui peut aider un gouvernement de bien prévoir les crises, je ne peux pas attribuer les crises actuelles à l’absence de cet outil, mais je peux dire si l’outil là fonctionnait, il aura beaucoup d’alerte sur les crises qui devraient survenir », prévient-il.
Mamadou Dian Bah