Le mouvement de contestation et son chef de file Mahmoud Dicko persistent et signent dans leur volonté de pousser le président à la démission. Celui-ci résiste.
Au Mali, les jours se suivent et se ressemblent quant à l’atmosphère politique de défiance à l’endroit du président Ibrahim Boubacar Keïta. En effet, ce dimanche, la contestation a maintenu la pression sur le pouvoir appelant à de nouvelles manifestations et exigeant la démission du président Keïta qui, lui, a renouvelé son offre de gouvernement d’union nationale pour le pays. Selon l’AFP, les responsables du mouvement de contestation dit du 5 juin, coalition de responsables religieux et de personnalités de la société civile et du monde politique, l’ont rencontré dans l’après-midi. Lisez la suite dans Le Point Afrique