C’était à l’occasion d’une sortie dans la presse en ce début de semaine, Dr Alya Diaby, accusé par certains membres du FNDC d’avoir posé des conditions pour la libération d’un de leurs, le président de l’Institution nationale indépendante de droits humains (INIDH) pense plutôt que son propos a été mal interprété – et dit qu’il ne veut pas rajouter à la confusion.
Propos : « Les gens peuvent interpréter des choses, chacun de sa manière ; moi ce que j’ai voulu faire, nous voulons contribuer à apaiser et à trouver un terrain d’attente. Dans tous les cas, nous sommes convaincus d’une chose, aujourd’hui ou demain, les uns et les autres accepteront de dialoguer ; qu’ils acceptent de dialoguer sous la bannière de nos institutions ; ils accepteront un jour de dialoguer, s’ils n’acceptent pas quand les étrangers viendront de leur demander, ils accepteront le dialogue », a-t-il déclaré.